La convergence des domaines et des découvertes scientifiques vers une nouvelle vision du monde est l’une des grandes avancées de la science moderne. C’est l’une des missions fondamentales de l’I.R.S.E.A.S. Les découvertes d’Arno Stern et les recherches menées au sein de l’Institut ont pour effet d’enrichir de nombreux autres domaines scientifique, tout comme ces derniers apportent de nombreuses confirmations et de nombreuses pistes de recherche pour la Sémiologie de l’Expression. Combinés, l’ensemble de ces domaines apportent une nouvelle compréhension de l’humain en général et de l’enfance en particulier .
« Arno Stern est l’un des plus grands scientifiques que je connaisse, parce qu’il a fait précisément ce qui caractérise la science. Il ne croyait pas ce que les autres croyaient, il découvrait quelque chose dont les autres n’avaient même pas l’idée qu’on pouvait le chercher. Mais il a également créé un lieu où ce qu’il avait découvert devenait visible. Recevez notre reconnaissance, notre admiration et notre respect pour n’avoir rien laissé vous dissuader de croire qu’il y a, à l’intérieur des êtres humains, plus que ce que nous voyons quand ils passent devant nous. » Prof. Dr Gerald Hüther, neurobiologiste
« Tout comme de nombreux domaines scientifiques ont dû être recalibrés à l’aune des découvertes de Newton, les travaux d’Arno Stern apportent un nouvel éclairage au sein de nombreux domaines scientifiques actuels : archéologie, théologie, embryologie etc. » André Stern
« Je suis convaincu que les travaux d’Arno Stern représentent actuellement la voie la plus prometteuse pour étudier le jeu dans une perspective de recherche en santé primale. Pendant presque sept décennies, il a observé « le jeu de peindre ».
En ce qui concerne le potentiel pour la recherche, l’œuvre d’Arno Stern est unique. Des dizaines de milliers de peintures, issues d’une grande diversité de milieux culturels, sont maintenant conservées sous forme électronique. Comme la naissance est la phase de formation de l’individu qui a été le plus radicalement bouleversée au cours des dernières décennies, il devrait être possible de chercher à savoir si des déviations extrêmes des processus physiologiques peuvent altérer le besoin de dessiner et la façon dont les humains dessinent spontanément. » Dr Michel Odent